La jeune fille aux longs cheveux noirs regardait dehors par la fenêtre du dortoir, la lune éclairait très bien l'extérieur. Tout était si calme, vraiment la nuit c'était le paradis. Naruke prit ses rubans sur sa table de nuit et s'en servit pour attacher ces cheveux en deux couettes, pose sa main sur son œil violet et fixe dehors de son autre œil bleu. Elle finit par se lever, prenant sa veste en passant et sortit vite du dortoir, pressée de ressentir l'air de l'extérieur et la fraicheur de la nuit. Une fois en bas, elle avança au milieu du parc, respirant l'odeur des fleurs qui voltaient dans l'air, son regard alla vers le lac plus loin où la lune se reflétait, sa première pensée fut quelle merveille. Elle y alla directement s'assit aux bords de l'eau, ses bottes et chaussettes posées sur le côté. elle mit un doigt pour commencer sur l'eau, frissonne de froid puis met le pied suivit du deuxième. La surface normalement calme commença à bouger au rythme des balancements des pieds. L'air souffla doucement dans les cheveux qui les faisaient volter dans tout les sens, si bien qu'elle mangea un de ces cheveux et s'étouffa avec.
« Beurk ! Au moins je sais que mes cheveux ont mauvais goûts.... »
Elle se mit à rire et se laissa tomber en arrière, pour regarder la lune si lumineuse, si pleine, si magnifique, ses yeux se fermèrent pour qu'elle puisse mieux profiter du calme et de toutes les sensations qu'elle sentait là. Le problème avec le calme c'est que ça fait remonter pleins de souvenirs, comme celui là auquel elle pensait... . C'est parents, une chose qu'elle aurait aimé ne jamais ravoir en mémoire, ces gens qui l'avaient abandonné encore une fois pour vivre leur amourettes qu'elle ne supportait pas. C'est à cause de ça que l'amour et elle ça faisait deux, même si elle en avait envie, elle ne voulait pas devenir comme eux, abandonner ceux qui l'aimait.
« AAAAAAAAAAAAAAAAAAH mais enfin j'en ai marre de penser à ce genre de truc !!!! »
Après c'être amusée à crier comme une folle, à faire fuir tout les animaux à l'entour, elle se redressa et fixa de nouveau l'eau du lac attendant sans doute que le sommeil la bouge d'ici.